Hola todos y todas ! tutto bene ? you know me, Sir Archibald Water ! Pas besoin de me présenter à nouveau ? oder ist es notwendig ?
Actuellement, je travaille dans un fast food !
donc dans le commerce ! on vient de rafler pas mal de part ! les concurrents sont jaloux. Les gymnasiens nous étouffent. Et bientôt vont commencer les universitaires !
A côté de ça, je donne des cours de mathématique, français, allemand, anglais et latin. J'apprends l'espagnol (et d'autres langues j'aimerais...), le violon, la guitare et la flûte à bec droite (et j'aimerais bien d'autres instruments de musique).
Côté croyances : je crois en les êtres vivants (moi être athée, vous y en a comprendre), en leur auto-détermination dont je promeus le développement et le maintien, l'entretien. Par conséquent, je conspue les menaces, les frappes, le forcing, le mobbing, le cyberbullying, le google-bombing, le terrorisme, les formes d'intolérances (sauf au gluten et autres composants, on ne choisit pas les allergies et les intolérances
).
Côté politique sociale : je pense que l'on peut développer, dans toutes nos activités, rémunérées ou non, officielles ou non, des compétences pédagogiques et des outils didactiques. J'en appelle à la diversité et à l'auto-détermination, à accepter les différences et les similitudes de sources de motivation, quitte à une rupture de relation. Cela signifie que si je suis écolo' ou aime le violon, je ne vais pas forcer mes colocataires à être à écolo' ou à aimer le violon. If you are interested in chess, don't force anyone to play chess, just search for people who love chess (the best way is a chess club).
Côté écologie, je demeure réaliste : une croissance infinie (telle celle sacralisée par divers économistes...) dans un monde fini est impossible. Nous ne pouvons pas continuer "durablement" de vivre tout en consommant de même (ainsi). Par conséquent, je rejoins les mouvements de décroissance (plus que "objection de croissance"). J'achète en regardant les étiquettes, tout en sachant qu'elles peuvent parfois être fausses, j'essaie d'acheter local, de saison et bio. Dans la pratique quotidienne, c'est une autre paire de manche, surtout avec la job que j'ai. Le patron achète de la viande de Suisse, mais aussi d'Amérique du sud, du poisson de Norvège. Et le contexte fast-food veut que l'on raisonne "commercial" : développer clientèle, la fidéliser, observer les concurrents, etc. Encore heureux que l'on n'ait pas des actions, des hedge funds ou des subprimes !
Côté humanité (ou humanisme) : le défi écologique n'est que la pointe de l'iceberg. Mais il faut éviter que cette pointe ne fond. Autrement, nous ne nous douterons plus de toute la glace qui tient dessous. L'écologie n'est pas si difficile à appliquer. Les obstacles bloquants sont plus d'ordres psychosocial et philosophique. Et là, on est en train de manquer le coche. Avec la telle mentalité actuelle (occidentale ?), axée sur l'apparence, l'argent, la consommation, comment pourrons-nous être serein lorsque nous vieillirons, lorsque la terre en sera à ses dernières heures ? car oui, la terre mourra bien "un jour". Est-ce un jour lorsque le soleil mourra ? Il y a cette maudite non-acceptation de la mort, qui fait le bonheur de certains commerçants, notamment dans la médecine, la pharmaceutique (pensez Daniel Vasella, par exemple
).
Côté mon quotidien : vous l'aurez deviné peut-être, mes domaines passionnants sont la musique, les langues, la psychologie sociale, les échecs (un peu moins)...
Shokin